L’aubépine - crataegus oxyacantha - est un arbuste dont les fruits et fleurs sont notamment utilisées depuis plusieurs années. De nombreux principes actifs ont pu être identifiés dans les fleurs et feuilles d’aubépine, ayant une action calmante et des bienfaits sur la santé cardiovasculaire.

Vous avez peut-être entendu parler du microbiote, cet ensemble fascinant de micro-organismes vivant dans notre tube digestif. Mais saviez-vous qu'il joue un rôle crucial dans notre santé globale ? Composé de milliards de bactéries, virus et champignons, le microbiote n'est pas un simple passager clandestin dans notre système digestif. Il est un partenaire actif dans des fonctions essentielles telles que la digestion, la régulation immunitaire, et même la production de certaines vitamines. Plus récemment, des recherches ont révélé un lien entre un déséquilibre du microbiote et le développement de différentes maladies. Explorons ensemble comment prendre soin de ce « deuxième cerveau ».

L'ail des ours (Allium ursinum) est une plante commune, comestible et médicinale. Il fait souvent partie de compléments alimentaires ayant un effet sur la santé cardio-vasculaire et également un effet draineur. On l’appelle ail des ours en référence au fait que l’ours consomme cette plante au sortir de la période d’hibernation, au début du printemps.

L'automne s'installe doucement...

L’artichaut (cynara scolymus) est une grande plante herbacée utilisée à la fois en cuisine (têtes d’artichaut) et en phytothérapie (feuilles au niveau des tiges). Ses feuilles possèdent des propriétés bénéfiques notamment pour l’élimination des toxines de l’organisme.

J'ai eu le plaisir de rédiger un article dans le magazine Biocontact pour le dossier du mois sur l'oeuf et la poule.

L’angélique ou  Angelica archangelica, est utilisée comme une plante comestible, ses feuilles et graines étant très aromatiques, et sa racine est utilisée en phytothérapie pour ses propriétés médicinales. L’espèce employée est cultivée en France, mais est originaire du Nord de l’Europe. Elle est proche de l’espèce sauvage française, Angelica sylvestris.

Cette méthode de respiration est basée sur la capacité du cœur à se synchroniser avec le rythme respiratoire.